Les moyens de transport

Optez pour la marche ou le vélo pour vous déplacer. Effectivement, l’emploi des voitures personnelles optimise l’émission de CO2. Pourtant, ce taux de carbone qui s’accentue nuit à la santé de tout le monde. À la limite, si vous ne supportez pas la marche, prenez le transport en commun. De plus, ces modes de transport sont inévitables à cause du nombre de personnes qui circulent.

Une rénovation du domicile

Parmi les gestes écologiques, l’aménagement intérieur est une priorité à ne pas négliger. En général, c’est la consommation électrique, notamment le chauffage, qui est source de détérioration d’environnement. De ce fait, vous devez aménager, voire rénover, votre domicile pour rectifier ce point. Optez pour une source de lumière naturelle. Non seulement cela est bénéfique pour votre économie budgétaire, mais la beauté de votre intérieur est également intensifiée.

Le système d’alimentation

Environ 22 % des causes probables de la dégradation de l’effet de serre proviennent du mode d’alimentation. Plus précisément, la consommation de viande et de produits laitiers en est les principales sources. De ce fait, la solution est de diminuer ou de modifier le régime alimentaire. Pour certaines personnes, arrêter la consommation de ces produits est inimaginable. Par contre, vous avez des produits à base de soja qui peuvent facilement remplacer la viande. Les apports nutritifs sont presque les mêmes, mais le choix vous appartient.

Le système de l’échange

Pour un geste écologique à adopter journalièrement, optez pour le système d’échange. Au lieu de jeter, échanger ou recycler est un meilleur moyen de préserver la nature. Si vous vivez seul, pensez à trouver un colocataire. Oui, la colocation est un geste écologique, en dehors des bénéfices monétaires. En choisissant la colocation, vous réduisez vos consommations électriques et vous participez au sauvetage de l’environnement.

Une moto qui vous fait économiser de l’argent

Le grand avantage d’une moto électrique, c’est qu’elle vous évite l’achat de carburant. En effet, l’achat d’essence pour faire fonctionner la moto peut peser dans votre budget mensuel, en cumulant. Avec une moto électrique, on n’a plus besoin de subir l’augmentation constante du prix à la pompe. Une moto électrique fonctionne avec une batterie qu’il suffit de recharger pour pouvoir rouler en toute quiétude. Il faut aussi noter que le plein d’essence est plus cher que la recharge complète de la batterie. Pour avoir une batterie pleine, comptez 10 euros. Cela permet de rouler environ 300 km. Du côté des motos thermiques, pour un plein, il faut compter 40 à 50 euros, selon la puissance de la moto. Le plein permet de faire environ le même trajet de 300 km sur une moto avec un réservoir de 25 à 30 litres. La consommation énergétique d’une moto électrique est, de ce fait, 3 fois moins chère que sur une moto thermique.

Un entretien plus facile

Même si à l’achat, une moto électrique peut revenir plus cher qu’une moto thermique, ce prix peut être amorti par différentes aides proposées par l’État sur l’achat d’une moto électrique neuve. L’amortissement va aussi se constater sur le long terme étant donné qu’une moto électrique ne demande pas beaucoup d’entretien comme c’est le cas sur une moto classique. Comme la version électrique n’a pas besoin d’utiliser d’huile moteur pour fonctionner, vous serez déchargé de la corvée de vidange qui doit se faire tous les 6 000 km sur une moto classique. Par contre, vous devez toujours pensez à vérifier et remplacer vos pneus et votre chaîne quand cela est nécessaire. Il faut aussi noter que la batterie d’une moto électrique est bien plus performante que celle qu’on trouve sur une moto thermique. Elle ne nécessite généralement aucun entretien.

Pourquoi opter pour une moto électrique Alrendo ?

Même si les motos électriques sont assez chères à l’achat, vous pouvez trouver des modèles à moins de 10 000 euros chez la maison Alrendo. Il s’agit du modèle TS Bravo. Le constructeur a annoncé que ce modèle peut avoir une autonomie jusqu’à 419 km en fonction du style et du mode de conduite. Il s’agit aussi d’une moto qui peut rouler jusqu’à une vitesse de 135 km/h et qui ne pèse que 200 kg à la balance. Les motos Alrendo ont également un design à l’air du temps avec une apparence musclée et très aérienne. Elles sont économiques en plus d’être légères. Mais on notera aussi que les motos de la marque respectent l’environnement en ne diffusant qu’une quantité très infime de gaz carbonique. En plus, contrairement à une moto thermique, le moteur ne diffuse quasiment aucun bruit. Ce qui est un bon allié de déplacement pour les virées en milieu rural, mais aussi en zone urbaine, sans causer de pollution sonore.

Éviter les déchets

Actuellement, il est impossible d’éviter les ordures surtout avec les emballages. On peut quand même les réduire. Il faut d’abord apprendre à s’abstenir, à se retenir d’acheter des nourritures emballées. Acheter des aliments bio et frais. S’il existe des déchets recyclables, comme les restes et les écorces des légumes, utilisez-les pour produire des engrais. Utiliser un mouchoir en tissu plutôt que des mouchoirs hygiéniques.

Limiter la consommation d’eau

Un geste à la fois écologique mais aussi économique. Cela n’interdit pas de vous laver mais d’utiliser l’eau convenablement. Comment faire ? Au lieu de prendre un bain, prenez une douche. Arrosez vos plantes avec l’eau que vous venez d’utiliser pour laver les légumes. Ne laissez jamais le robinet ouvert lorsque vous en avez pas besoin et ne laissez pas vos enfants jouer avec. Essayer de réduire la consommation d’eau autant de fois que possible. Si c’est possible évitez de construire une piscine chez vous si vous pouvez encore vous baigner ailleurs.

Limiter la consommation d’énergie

Lorsque vous êtes dans votre appartement, vous pouvez éteindre le chauffage quand vous êtes encore capable de supporter la température. Une fois que vous quittez une salle, pensez à toujours éteindre la lumière. Débrancher votre chargeur quand vous n’en avez pas besoin. Le chargeur d’un ordinateur portable consomme de l’énergie quand il est encore branché même s’il n’alimente plus l’appareil. Prenez des transports communs ou demandez à votre mari de vous déposer au travail au lieu de sortir deux voitures en même temps. Sinon, si votre trajet est court vous pouvez aller à pied.

Comment adopter le style écologique dans une ville entière?

On a souvent tendance à croire que s’engager dans l’écologie est quelque chose de trop exigeant ou trop compliqué. En réalité, rendre une ville plus verte nécessite une volonté de protéger et de faire la différence. Voici donc quelques suggestions pour rendre une ville respectueuse de l’environnement :
Exclusion de l’utilisation du plastique pour les contenants alimentaires au niveau de la restauration collective.
Limiter les déchets en refusant les objets ou emballages futiles.
Créer des parcs et jardins où il est interdit de jeter des déchets.
Mettre en place des zones piétonnes pour encourager les gens à faire de la marche à pied, et donc de réduire le trafic automobile.

Top 5 des villes les plus écolo du monde

Cela pourrait vous paraître surprenant mais bon nombre de villes ont déjà choisi d’appliquer le mode écologique dans le quotidien de leurs citoyens. En prenant en compte les risques environnementaux, le taux de pollution, la gestion de l’eau, de l’énergie et des déchets, la société Arcadis (leader international des solutions durables) a établi une liste des villes les plus écolo suivant leurs scores. En voici le top 5 :
Zurich tient la première place avec ses espaces verts en abondance et son système efficace de gestion de déchets
Stockholm, grâce à leur système imposant aux automobilistes un péage, le cyclisme est beaucoup plus pratiqué, ce qui a limité l’émission de carbone
Genève, reconnue pour l’utilisation d’une énergie reposant sur l’hydraulique, et donc pratiquement propre
Vienne, là où le vélo est le principal moyen de transport des habitants
Francfort, des espaces naturels s’étalant sur 52% de la ville et des zones spécifiques où les véhicules polluants sont interdites

Les documents à fournir

Sachez qu’un tracteur n’a pas forcément besoin d’une carte grise, notamment si vous ne l’utilisez que pour votre activité. Cependant, si vous décidez de céder, de rouler sur la voie publique ou d’assurer votre engin, votre carte grise fait partie des documents nécessaires et indispensables pour cela.

Si vous avez perdu la carte grise de votre tracteur, vous devez demander un duplicata. Pour ce faire, vous devrez réunir les documents suivants, à savoir un justificatif d’identité du propriétaire (si le tracteur appartient à une exploitation agricole, vous rajouterez à ce document l’extrait Kbis ainsi que la pièce d’identité de son dirigeant), une demande d’immatriculation du véhicule en choisissant l’option « demande de duplicata », une déclaration de perte.

La démarche de la demande de duplicata en ligne

En principe, c’est le propriétaire légal de l’engin qui doit effectuer la demande de duplicata. Si l’engin appartient à une société, alors cette charge incombera au représentant légal de l’entreprise. Pour enclencher la procédure, vous devez vous connecter à votre compte sur le site agréé que vous aurez choisi. Ensuite vous passez dans la rubrique « demande de duplicata » et remplissez le formulaire qui vous sera présenté. Enfin, téléchargez les dossiers qui vous ont été demandés afin de les attacher à votre demande. Le site devra vous envoyer un certificat provisoire de circulation, afin de vous permettre d’utiliser votre engin en attendant la délivrance du duplicata. Ce certificat vous permettra de circuler pendant une durée d’un mois avec votre engin, et même sur la voie publique. A l’issue de ce délai, votre nouvelle carte grise vous sera envoyée à votre adresse.

Consultez cette page si vous avez des questions sur la demande de duplicata de carte grise qui n’ont pas été éclairées par cet article. Sachez toutefois que vous pouvez confier la demande du duplicata de votre carte grise à un professionnel habilité par les services publics. Il a pour principale mission d’accomplir les démarches à votre place. Son intervention vous libère des démarches administratives relatives à l’accomplissement de la demande. Bien évidemment, vous devez payer l’intervention de ce professionnel.

Les plus importantes marées noires qui ont marqué l’histoire

Plus 700 marées ont été référencées dans le monde entier depuis 1999. De nombreux pays sont subits les conséquences de ces catastrophes écologiques. Certains phénomènes ont eu d’importantes répercussions sur l’environnement. Les plus marquants de l’histoire sont :
L’explosion des puits de pétrole Ixtoc 1 en 1979 au Mexique. Environ 1 500 000 tonnes ont été déversées dans l’Océan durant 9 mois. La catastrophe était due à une mauvaise manœuvre qui a entraîné l’explosion. Le pétrole était sous forme de nappes noires qui ont recouvert la mer. L’explosion a également entraîné une explosion sans précédent.
En 1967, le pétrolier Canyon s’est échoué sur les côtes britanniques, déversant dans l’Océan plus de 120 000 tonnes de pétroles dans l’Océan. La catastrophe a également touché les côtes françaises.
L’Amoco Cadiz a eu lieu en 1978 en Finistère et provoqué le déversement de plus de 267 000 tonnes de pétroles. Plus de 300 kilomètres de littoral ont été touchés par la marée.
La biodiversité des côtes Françaises a été chamboulée par la marée noire provoquée par Erika en 1999. Plus de 300 000 oiseaux ont disparu et environ 250 000 tonnes de déchets ont déversés sur le littoral.

Quels sont les réels impacts de la marée noire sur l’environnement ?

Il y a un réel écosystème qui s’installe dans les fonds marins. Les catastrophes écologiques perturbent grandement cet écosystème. De ce fait, les habitats marins ne respectent plus les chaines alimentaires. Tous les animaux marins se trouvent affectés par le phénomène. Si certaines espèces comme les cétacés arrivent à vivre avec la pollution marine, alors que d’autres comme les baleines et les dauphins décèdent après être entrées en contact avec les substances toxiques. Les chercheurs ont constaté la disparition plus de 5000 cétacés en 2010, quand la plateforme pétrolière Deepwater Horizon s’est échouée sur le littoral.
La marée noire affecte également tous les oiseaux et les mammifères vivants à proximité des côtes. Les littoraux sont contaminés par des substances toxiques qui les rendent malades. Les oiseaux sont plus sensibles par les nappes des pétroles. En collant sur leur plume, le pétrole les tue doucement suite à une hypothermie ou par noyade. Les espèces qui ont réussi à survivre deviennent plus agressives et souffrent des troubles pulmonaires et neuronaux.

Solution économiques et juridiques

La protection de l’environnement ne dispose pas de ressources suffisantes, il faut donc que l’Etat consacre suffisamment de moyens financiers aux travaux de recherche sur les questions liées au réchauffement climatique. Les nations industrialisées doivent favoriser l’accès des pays en développement aux nouvelles sources d’énergies avérées non polluantes comme les énergies renouvelables. Sur le plan juridique, des lois en vue de protéger la planète, lois consistant à faire payer les entreprises pollueuses, à empêcher les hommes d’utiliser n’importe comment les réserves naturelles (forêt, lac, fleuve, pétrole, gaz naturel, etc.) devraient être mise en vigueur.

Solutions politiques et stratégiques

Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a l’obligation de favoriser d’avantage l’émergence des organismes spécialisés dans les problèmes climatiques, et impliquer les populations dans la gestion de leur cadre de vie. Il doit ainsi favoriser la création d’espaces protégées et confier la gestion aux localités. Et il est important que tous les Etats du monde ratifient les accords pris collectivement et sont censés freiner l’allure du phénomène et même amener leurs citoyens à s’y engager.

Solutions technologiques

En termes de techniques et de technologies, la production d’énergies renouvelables et non polluantes doit être développée. La production en quantité suffisante et l’utilisation de ces types d’énergies dites non polluantes à l’échelle mondiale s’avèrent fort contribuable dans les efforts entrepris contre le réchauffement climatique et les maux qu’ils drainent. De plus on pourrait encourager les recherches vers la création de véhicules écologiques avec la non utilisation du pétrole mais des produits biologiques comme carburant. Ce qui est dorénavant possible et réalisable.

Ce qu’est une déclaration de cession

Une déclaration de cession, aussi appelée certificat de cession, est un formulaire obligatoire qui valide le transfert de propriété d’un véhicule. Dans les trois cas suivants, ce formulaire est exigé : la vente, le don ou la cession pour destruction d’un véhicule. Vous, en tant qu’ancien propriétaire, et le nouveau propriétaire, devez tous les deux remplir ce formulaire et y mentionner un certain nombre d’informations vous concernant, concernant le véhicule et concernant la transaction. La déclaration de cession doit être effectuée dès lors qu’il y a eu immatriculation du véhicule, que ce soit une voiture, un camion, une caravane, une remorque, un scooter, un cyclo, etc. C’est le formulaire Cerfa 15776*01 qui est dédiée à la déclaration de cession. Celle-ci est d’une grande importance pour le vendeur, mais également pour l’acquéreur afin qu’il puisse entamer les formalités de demande de certificat d’immatriculation. La loi prévoit que vous fassiez cette déclaration de cession dans les 15 jours suivant la transaction. Son premier but est d’informer les autorités compétentes que désormais, le véhicule a un autre propriétaire. Ne pas procéder à cette déclaration de cession n’est pas avantageux pour vous, car tant qu’elle n’est pas effectuée, vous restez civilement responsable du véhicule. Autrement dit, quel que soit l’incident ou l’accident dans lequel le véhicule est impliqué, vous en êtes le seul responsable.

A qui adresser la déclaration de cession ?

Depuis le mois de novembre 2017, la déclaration de cession n’est plus à présenter à la préfecture ou à la sous-préfecture. Toutes les procédures sont maintenant dématérialisées, ce qui veut dire que vous n’avez plus à vous déplacer physiquement et faire la queue pour être reçu à la préfecture, comme cela a été le cas pendant de longues années. La nouvelle disposition est donc en faveur du public, pour leur permettre un gain de temps important, mais aussi pour faciliter les démarches.

Pour effectuer la déclaration de cession, deux options s’offrent à vous : soit vous vous rendez sur le site de l’Agence nationale des titres sécurisés ou ANTS, soit vous passez par un prestataire habilité. En faisant appel à des professionnels agréés par le ministère de tutelle, vous vous déchargez de toutes les formalités. Bien évidemment, cela vous simplifiera la vie. Si vous ne disposez pas d’ordinateur chez vous ni de connexion Internet, vous pouvez toujours vous rendre à la préfecture où des bornes informatiques peuvent être utilisées. D’ailleurs, sur place, si vous avez du mal à vous servir d’un ordinateur ou si vous ne comprenez pas très bien comment remplir le formulaire ou si vous avez des questions, des agents administratifs restent à votre disposition pour vous aider.

A quoi veiller en remplissant la déclaration de cession ?

Si vous effectuez seul la déclaration de cession sur internet, notamment sur www.declaration-cession.fr, vous devez veiller sur certains points. D’abord, vous devez soigneusement suivre les procédures pour enregistrer le changement de propriétaire dans le Système d’immatriculation des véhicules ou SIV. Puis, n’oubliez surtout pas de récupérer le code de cession que l’on vous remet automatiquement dès l’enregistrement de votre demande dans le Système SIV. Ensuite, donnez ce code de cession à l’acheteur le plus vite possible. Le fait est que ce code est l’un des éléments nécessaires pour la demande de carte grise. En d’autres termes, sans ce code de cession, le nouveau propriétaire ne peut tout bonnement pas mettre le véhicule à son nom. Il sera entravé dans ses démarches si vous ne lui remettez pas ce code. Ceci étant, si l’acquéreur décide de confier les démarches de nouveau certificat d’immatriculation à un prestataire habilité, ce code n’est pas utile. Tout ce qu’il a à fournir, c’est le formulaire de demande de carte grise et les pièces justificatives requises. En ligne, tout cela se fait en quelques clics et en quelques minutes. La nouvelle carte grise est obtenue en seulement 24 h.

Les sections à remplir sur le formulaire dédié

Le certificat de cession comporte 3 sections bien distinctes. Dans la première, c’est à vous, en tant qu’ancien propriétaire, de la remplir. Vous devez y inscrire le numéro d’immatriculation du véhicule ainsi que son numéro d’identification. Il est à préciser que ce dernier est le numéro VIN mentionné sur la carte grise, au cadre E et visible aussi à différents endroits du véhicule, sur le moteur, sur le châssis ou l’ordinateur de bord, etc. C’est un numéro à 17 chiffres que l’on appelle communément numéro de série. Toujours dans cette première section, vous devez aussi noter la date de la première immatriculation du véhicule, sa marque, sa version, son modèle, son genre national (c’est-à-dire s’il est Français, Allemand, Coréen, etc.) et le kilométrage au compteur au moment de la transaction.

Dans la deuxième section, vous devez y inscrire les informations vous concernant : nom, prénom, nom d’usage, sexe, nationalité, adresse, la date et l’heure de la cession, la date et l’heure de l’établissement du document, la nature du transfert du véhicule et votre signature. Vous devez aussi cocher la case indiquée si c’est une cession à titre gratuit ou pour destruction.

La troisième section doit comporter les informations sur le nouveau propriétaire, la date et le lieu d’établissement du document, sa signature. Il doit cocher la case certifiant qu’il a bien été informé de la situation administrative du véhicule et qu’il a acquis celui-ci à la date et à l’heure indiquée.

Les documents à fournir au nouveau propriétaire

Dans le cadre d’une cession de véhicule, il faut que vous remettiez au nouveau propriétaire tous les documents lui permettant de procéder au changement de certificat d’immatriculation. Cela veut dire qu’il doit posséder en main tous les documents qui prouvent que le véhicule lui appartient désormais et qu’il peut le mettre à son nom. À partir de là, il dispose de 1 mois pour faire sa demande de carte grise.

Si la carte grise que vous venez de céder est déjà sous le système SIV, surtout, veillez à ne pas enlever le coupon détachable qui est dessus. Ce coupon est très important pour le nouveau propriétaire, car c’est ce qui lui permettra de circuler avec le véhicule pendant 1 mois. Grâce à ce coupon, il peut commencer à se servir de son nouveau véhicule, dans l’attente de la nouvelle carte grise à son nom. Mais n’oubliez pas de noter le nom de l’acheteur et votre signature sur ce coupon détachable afin qu’il soit valide. Si vous êtes plusieurs à être propriétaires du véhicule et donc, sur la carte grise, les signatures de tous sont indispensables sur ce coupon détachable.

Le prix d’une voiture électrique change selon la catégorie

Étant donné que les voitures électriques représentent tout un investissement, les acquéreurs portent essentiellement leur choix sur de petits modèles. Les citadines rechargeables européennes et japonaises sont ainsi les plus rependues. Renault, Nissan, Mercedes ou BMW proposent des voitures électriques de 23 000 à 41 000 €. Il faudra encore déduire les aides étatiques. Quoi qu’il en soit, vous aurez une autonomie limitée à 150 km et une vitesse maximale de 120km/h. Pour davantage de performances, il faudra se tourner vers les voitures électriques américaines ou le haut de gamme européen. Elles atteignent jusqu’à 250 km/h avec une autonomie réelle dépassant parfois les 400km. Il faudra mettre un chèque de 77 000 à 87 000 € au nom de la marque automobile ou son concessionnaire.

Prendre compte du cout d’utilisation du véhicule

Sachez que la batterie d’une voiture électrique coute une fortune. C’est la raison pour laquelle certains constructeurs proposent de vendre l’automobile sans cette pièce. Rassurez-vous, elle en aura plusieurs. Seulement, il faudra les louer à raison de 60 à 150 €/mois. L’entretien sera à la charge du constructeur. Vous ne deviendrez propriétaire de la voiture et de ses batteries qu’au bout d’un certain temps. Il est aussi possible d’acquérir un véhicule en entier, équipé et prêt à rouler. Cependant, le cout d’entretien des batteries sera à votre charge. Il faut prévoir entre 4000 et 6000 euros de travaux en cas de panne importante. Enfin, le bonus pour l’achat d’une voiture écologique s’élève à 8 500 €.

Trouver la voiture à louer pour les vacances au bon endroit

Vous aurez plusieurs manières de trouver une voiture à louer en Europe. En faisant vos recherches sur Internet, vous tomberez sur des comparateurs en ligne. Plusieurs loueurs seront au choix. Des outils de tri vous permettent de trouver la voiture qui vous inspire confiance. Il est également possible de passer directement auprès des entreprises de location habituelles. Ces prestataires ont généralement des accords avec des concessionnaires ou des marques automobiles. Vous pourrez par exemple croiser des loueurs qui se spécialisent dans la voiture électrique. Puis, il y a aussi les plateformes pour la location automobile entre particuliers. Dans tous les cas, il convient de voir en détail l’état du véhicule avant de prendre le volant. Ce serait également plus prudent de vérifier l’assurance. L’idéal serait d’avoir une assurance multirisque.

Vérifier les conditions de la location du véhicule

La location est possible pour tout conducteur de plus de 18 ans dans la plupart des pays d’Europe. Cet âge minimum monte à 21 ans pour la Grèce, l’Espagne, l’Ireland et les Pays-Bas. Pratiquement pour tous les pays, les garanties exigées par les loueurs seront parfois plus importantes pour les jeunes chauffeurs. Il s’agit de la franchise, une somme d’argent qui sera restituée si le véhicule est resté intact après la location. Quoi qu’il en soit, les cautions sont obligatoires et le permis de conduire doit être valide. Les clients séniors font aussi l’objet de limite d’âge. Les conditions changent d’un loueur à l’autre. Certains prestataires limitent le kilométrage. D’autres proposent exclusivement des voitures avec chauffeur.